Au collège, j’étais le blondinet à lunettes à qui on vole son gouter.
C'est peut être la plus belle chose qui me soit arrivée.
Petit, chétif, naîf, binoclard, peureux.
Sans dire que j’ai été harcelé, j’en ai bavé et j’étais mal dans ma peau.
Cette “faiblesse” m’a permis de développer des super pouvoirs :
- M’entourer de gens bienveillants et meilleurs que moi
- Lire rapidement les intentions des autres
- Développer ma résilience
Mais surtout, pour développer ma confiance en moi, j’ai trouvé un atout :
Le sport.
D’abord le tennis, puis le rugby, le muay thai, le crossfit et enfin la course à pied.
Le sport a toujours été une zone refuge.
Avec des règles, un arbitre, du respect, des valeurs.
Grâce au sport :
- mon corps s’est transformé
- je suis serein et sais me défendre
- j’ai gagné contre des brutes de 20 cm de plus
- j’ai appris ma vraie valeur : celle du travail
Mais surtout… Je m’autorisais à gagner.
Sur un court de tennis, un ring ou une piste d'athlétisme, nous sommes tous égaux.
Tout le monde peut s'exprimer sa rage et donner le meilleur de soi.
Certains trouvent souvent les sportifs trop "extrêmes" dans leur pratique.
Ce sont les mêmes qui piquaient les gouters à l’école.
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PS : si tu souhaites connaitre toute l'histoire et mes meilleurs outils de preparation mentale, j'ai été interviewé sur le podcast Romy LEICK, je te mets le lien en commentaire.
Extraterrien 👽