J’ai mis mon fils sur un vélo à 3 ans. Il est tombé un paquet de fois, mais rapidement il m’a accompagné durant mes sorties de 10km.
Tous les dimanches, sans exception.
Qu’il y ai du vent, du froid, de la pluie.
oui il y a eu des crises de pleur et des refus.
Mais on ne manque presqu’aucun dimanche.
Et maintenant, c’est lui qui le demande.
Il y a deux réactions :
- Ceux qui s’offusquent et me trouvent horrible
Ce sont soit des gens qui n’ont pas d’enfant ou des gens qui ont pour seul acte d’autorité de leur donner un téléphone.
- Ceux qui sont curieux ou inspirés et me félicitent
Ce sont des gens qui transmettent aussi leur passion à leurs enfants et qui savent que l’apprentissage passent par des moments compliqués.
L’apprentissage toujours heureux et positif est un mythe. L’apprentissage passe par l’amour de sa pratique. Aimer pratiquer ça s’apprend. Et cela passe par pratiquer dans des moments inconfortables.
Les gens qui jugent la façon dont les autres vivre votre passion et la transmettre sont généralement ceux qui n’en ont pas.
J'aime bien le message derrière une photo que certains trouveront sans rapport avec le travail....
Et justement, je pense que ceux qui comprendront le plus sont ceux qui ont fait de leur passion, leur travail.
En gros, ça devrait inspirer les indépendants! ;-)
Néanmoins, j'espère pour votre enfant qu'il aime quand même le vélo à la base... 😅!
Engagé dans l'insertion, la solidarité, le développement durable et humain par le sport, les parcours de réussite sociale, professionnelle et sociétale des jeunes